Pourquoi ce journal intime ?

Un besoin d'écrire tout simplement ? Aligner les mots et maux comme une thérapie ?
A maintes reprises j'ai cherché en vain des blogs parlant de le bipolarité et jamais je ne m'y suis retrouvée.
Je désire un blog simple où chaque personnes malades ou non puissent s'exprimer librement.
N'hésiter pas à m'envoyer vos textes, poésies...je les publierais, avec votre consentement bien sur.
Mon but n'est pas d'avoir plusieurs lecteurs mais si je peux aider, soutenir une seule personne et partager avec elle ce sera pour moi partie gagnée !!
Nathalie


mardi 30 octobre 2012

Sentiments et pensées négatives !!!!

 
 

Avez-vous les sentiments suivants ?

 
  • Une tristesse qui revient tout le temps ou la sensation d'un vide 
  • Une diminution d'intérêt pour les activités qui ordinairement vous apportent du plaisir
  • Un manque d'énergie, beaucoup de fatigue, la sensation de fonctionner au ralenti, le sentiment de parler lentement.
  • Un mauvais sommeil, des insomnies, vous vous réveillez trop tôt le matin, ou alors vous vous sentez incapable de quitter votre lit le matin.
  • Une perte ou un excès d'appétit, une prise ou une perte de poids soudaine.
  • Des troubles de la concentration, de la mémoire, la difficulté à prendre des décisions.
  • Un sentiment de culpabilité, de dévalorisation de vous-même, de vous sentir seul(e) et sans aide.
  • Une sensation de désespoir, un mode de pensée pessimiste.
  • Des pensées de mort et/ou de suicide qui reviennent régulièrement.
  • Vous êtes très irritable et de mauvaise humeur.
  • Vous êtes agité(e).
  • Vous êtes angoissé(e).
  • Vous pleurez trop souvent et sans raison, ou impossible de verser une larme
  • Vous vous mettez en retrait et vous vous isoler socialement.
  • Des maux de tête ou des douleurs chroniques.
  • Une augmentation de votre consommation d’alcool, de médicaments, de tabac
  • Peut-être avez-vous même songé à une tentative de suicide ?

 

Est-ce que vous avez les pensées négatives suivantes ?

 

 

  • Vous n’avez envie de rien.
  • Vous ne ressentez rien.
  • Vous n’avez plus de force
  • Vous avez le sentiment que vous n'y arriverez jamais.
  • Vous êtes fatigué(e) tout le temps.
  • Vous n’avez pas d’énergie.
  • Tout ce que vous devez faire semble une montagne infranchissable.
  • Vous avez le cafard.
  • Plus rien ne va.
  • Vous avez l’impression que vous ne valez rien.
  • …que vous n'existez pas pour les autres.
  • …que personne ne vous aime.
  • …que vous n’êtes pas intéressant(e).
  • Vous vous sentez mal à l’aise partout.
  • Vous avez peur de donner votre avis.
  • Vous êtes complètement amorphe.
  • Vous avez l'impression d’attendre que le temps passe.
  • Tout vous semble si difficile.



                   Alors comment vaincre ces sentiments et pensées négatives ???


                              
                 

Troubles de panique

Ce trouble je l'ai vécu il y a quelques jours...

Comme je l'ai écrit précédemment j'étais en cure avec Sophie.
Nous devions faire quelques courses en ville et suite à mon entorse je suis restée dans la voiture.
Une absence de 10 mn qui m'ont paru une éternité.

Sans avertissement, une peur intense, nervosité, appréhension, terreur, inconfort m'ont envahis.
Quand Sophie est revenue, elle m'a demandé si j 'allais bien, je tenais ma bombe lacrymogène prête à m'en servir, j'étais comme dans un état second.
Sa présence m'a de suite réconfortée, nous sommes rentrées à la maison que nous avions louée et avons discuté.
Elle aussi a dû, à un moment de sa vie faire face à ces crises. Elle comprenait donc mon angoisse et croyez moi dans ce cas une personne attentive à vos côtés a une importance capitale, car il n'y a pas de jugements juste de l'attention.

J'en souffre depuis mon braquage. Toujours la sensation que je vais être agressée de nouveau.

Ce trouble est un type de trouble anxieux qui se caractérise par des crises de panique récurrentes et par l'apparition de peurs, d'inquiétudes et d'anxiété.
Celles-ci sont souvent accompagnées de symptômes physiques comme l'essoufflement, le vertige, des palpitations, des douleurs thoraciques ou abdominales, la transpiration excessive, des tremblements, ainsi que des symptômes tels que la dépersonnalisation ou la déréalisation, la crainte de perdre le contrôle, de devenir fou, de subir une crise cardiaque, voire de mourir.

Je reste figée sans ne plus pouvoir réagir, comme si mon corps se vidait de la tête aux pieds.


Il y a quelques mois que je n'avais vécue cette situation et aujourd'hui je me rends compte que je n'en suis pas guérie !!
Mais peut on en guérir un jour ???



                     Comment éviter le trouble de panique ?                                                                                    


lundi 22 octobre 2012

Les maladies mentales, dont la dépression et l’alcoolisme, seraient un fardeau plus lourd pour la société que tous les types de cancer confondus, selon une nouvelle recherche canadienne.





Ce fardeau social serait en effet 1,5 fois plus important que celui de tous les cancers combinés et sept fois plus que toutes les maladies infectieuses, selon un rapport de l’Institut de recherche en services de santé (IRSS) et Santé publique Ontario.
«L'ampleur importante est tout simplement surprenante», a dit la chercheuse principale, Sujitha Ratnasingham, une épidémiologue du IRSS qui a calculé dans le passé le fardeau du cancer et d'autres maladies infectieuses.
Les chercheurs ont mesuré ce fardeau social des maladies mentales en considérant combien de nouveaux cas se déclarent chaque année, combien de temps dure la maladie, comment elle affecte la vie des malades et si cela peut entraîner un décès précoce.
La dépression, le trouble bipolaire, les troubles de l'alcoolisme, la phobie sociale et la schizophrénie sont arrivés en tête de liste. L'étude conclut qu’en général, la maladie mentale est souvent très répandue, que le problème se déclare durant la jeunesse et que les gens en souffrent pendant longtemps.
Le fardeau pourrait même être plus lourd, car certaines maladies, comme l'autisme et la démence, n’ont pas été incluses dans la recherche. Le calcul des décès et des suicides, qui seraient dus à une mauvaise hygiène de vie découlant d’une maladie mentale, ne sont pas comptabilisés.
Par contre, les cirrhoses et le cancer du foie dû aux excès d'alcool ont été comptabilisés. À ce titre, la consommation excessive d'alcool provoquerait 88 % de tous les décès attribués aux maladies mentales.
«Nous espérons que [cette étude] sensibilisera davantage au fardeau que représentent ces maladies mentales et ces dépendances», a dit Mme Ratnasingham.
«Si vous vous sentez déprimé, que vous avez le cafard, comme on dit, pendant une longue période de temps et que cela affecte votre vie sociale ou votre vie professionnelle, alors il est peut-être temps d'aller chercher de l'aide», a-t-elle ajouté.


                
                           sante mentale                                                                         
                                     

Sheena Goodyear / Agence QMI

Publié le: mercredi 10 octobre 2012, 16H22

L'Avis mental - Vaincre la maladie et ses tabous


L’avis mental : Je vous parle de ma souffrance, de mon état mental tout comme le ferait une personne atteinte de diabète, de cancer ou de problème de cœur. Ma maladie n’est pas « un dérangement de l’esprit » mais « une affection du cerveau ou un dysfonctionnement des neurotransmetteurs. » 

Ce livre démystifie et dédramatise la maladie mentale. Tout au long de ces témoignages, à travers ces grandes souffrances, ces moments de vie parfois intolérables, il y a l’être profond caché derrière, ne demandant qu’à vivre au soleil, au milieu de l’amour et de la compréhension de ceux qui l’entourent. 


Pour comprendre ce que vivent les personnes atteintes et leur entourage, il faut connaître la maladie; pour la vaincre, il faut savoir l’identifier, la dépister dès les premiers symptômes et ne plus en avoir peur. 


Il y a ceux qui en souffrent, ceux qui n’en souffrent pas et ceux qui en souffriront. Un ouvrage porteur d’espoir !

« Si ton ciel se couvre d’orage, relis les mots que tu as dits. Tu auras la certitude que quelque part, quelqu’un les a lus et les a compris. […] (Jeanne-Mance Delisle) Elle saura que la maladie était un accident de parcours qui est survenu pour la ramener sur la voie d’elle-même. […] (Guy Corneau) »
La 1e édition de L’Avis mental s’est frayée un chemin dans tout le Québec, dans la francophonie canadienne et dans les pays francophones. Cette 2e édition est là pour répondre à sa popularité grandissante.

Lire un extrait

Communiquez avec le RAIDDAT pour obtenir un exemplaire du livre

RAIDDAT, défense des droits en santé mentale...ressource inestimable d'aide et d'information                                   8, rue Gamble Ouest, Rouyn-Noranda
Téléphone: 819 762-3266
raiddat3@cablevision.qc.ca

jeudi 18 octobre 2012

Suite...Brides Les Bains

Après une semaine...
Avant et après les soins de belles balades qui s'ouvraient sur des paysages magnifiques, Méribel, Hautecourt, Champagny sur Vanoise... le soleil brillait sur les couleurs de l'automne et je pouvais m'adonner à ma passion, la photographie.
Dimanche nous sommes allées visiter Annecy puis Genève mais cette dernière sous un ciel bien gris ne m'a pas transcender.

Puis mardi après-midi rendez-vous...les urgences !!
Et oui un incident stupide, un simple trou sur la chaussée et je me suis tordue la cheville avant de chuter.
Résultat, une belle entorse, la cure et les soins sont terminés pour moi.
Une attelle, deux béquilles et me voilà enfermée dans la maison que nous avons loués.

Sophie continue sa cure et je suis contente pour elle, ses résultats sont plutôt favorables.

Souvent je me demande ce que j'ai bien pu faire dans ma vie passée pour que la malchance se retourne sans cesse sur moi.
La dépression, la bipolarité ne suffisent elles pas à me punir ??

De plus j'ai appris hier que je pouvais, je cite :
"De ce fait, ils sont chargés d'énergies négatives et attirent le malheur dans l'entourage de leur propriétaire..."
Un simple masque Africain acheté dans un grand magasin de décoration en France et depuis cette acquisition les malheurs ne cessent de s'enchaîner.
Que l'on y croit ou pas, là n'est pas la question à se poser, mais si vous aussi vous possédez une statue, masque ou autre, plongez vous dans votre passé et à ce moment analyser votre vie.

Oui j'en ai marre de cette vie, comment puis je m'en sortir ?
Et est ce que je vais un jour entrevoir l'espoir, cette envie de vivre et ne plus survivre !!!


                                    





vendredi 12 octobre 2012

Névrose...Paranoïa...

Névrose  

Le terme névrose, en psychiatrie et en psychopathologie psychanalytique, désigne des troubles psychiques sans lésion organique démontrable. Le sujet reste conscient de sa souffrance psychique et vit dans la réalité 

Le traumatisme infantile provoque des modifications du moi, comme des cicatrices, qui resurgissent après une période de latence, probablement due à la latence physiologique. L’effet retardé du traumatisme apparaît quand les exigences de la réalité extérieure entrent en conflit avec l’organisation défensive du moi. « La maladie peut être considérée comme une tentative de guérison, comme un effort tenté pour rassembler les éléments du moi que le traumatisme avait dissociés, pour en faire un tout puissant en face du monde extérieur. »

Freud, dans la suite de son exposé, note les conditions du retour du refoulé : - soit l’affaiblissement de la puissance du contre-investissement, - soit le renforcement des éléments pulsionnels liés au refoulé, - soit l’impression surgie de la similitude entre événements récents et anciens qui réveille le refoulé. « Dans ce cas, le matériel récent se renforce de toute l’énergie latente du refoulé et ce dernier agit à l’arrière-plan de l’impression récente et avec son concours »
Lorsque nous sommes fatigués, harassés de soucis, nos forces s'épuisent, le contre-investissement cède et nos mécanismes de défense habituels sont moins opérants. Nous devenons irascibles, parfois au bord des larmes et nous craquons pour un rien. Il arrive que certaines situations, des événements particuliers suscitent une réaction dont nous ne nous expliquons pas l'intensité jusqu'à ce que nous établissions un parallèle avec un moment du passé. Quand un ou des besoins essentiels à notre équilibre ne sont pas satisfaits et qu'ils sont minimisés ou non reconnus, des images, des scènes de film ou de vie, etc. peuvent attiser le manque et déclencher une émotion difficile à contenir. Le refoulé c'est un peu comme une fragilité à fleur de peau qui n'attend que d'être effleurée pour faire surface. 

La personnalité paranoïaque implique la présence d'au moins quatre des ses sept symptômes suivants :

  • Le sujet s'attend, sans raison suffisante, à ce que les autres se servent de lui, lui nuisent ou le trompent ;
  • Il est préoccupé par des doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité de ses amis et collègues, d'une façon plus générale de son entourage ;
  • Il est réticent à se confier à autrui car il craint que sa confidence ne soit utilisée contre lui ;
  • Il discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes, dans des événements anodins ;
  • Il est rancunier, ne pardonne pas d'être blessé, insulté ou dédaigné ;
  • Il s'imagine des attaques contre sa personne ou sa réputation, auxquelles il va réagir par la colère ou la rétorsion;
  • Il met en doute de manière répétée et sans justification la fidélité de son conjoint.
  • Le trouble de la personnalité paranoïaque est un trouble mental caractérisé par une paranoïa et une méfiance envahissante à long-terme des autres. Les individus souffrant de ce trouble de la personnalité peuvent être hypersensibles. Ils pensent être menacés et tentent de chercher tout signe de cette menace
      • Image de soi

Les patients souffrant de trouble de la personnalité dépendante se perçoivent eux-même comme inutiles ; ils sont persuadés de vivre dans un monde froid et dangereux et sont incapables de se protéger par eux-même. Ils se définissent eux-même comme faibles et sans défense ; ils tournent leurs espoirs envers les autres. Ces individus refuseront d'être ambitieux et sont persuadé être dépourvu de toute capacité indépendante
Le trouble de la personnalité dépendante (TPD ; anciennement connu sous le terme de trouble de la personnalité asthénique) est un trouble de la personnalité caractérisé par une dépendance psychologique persistante des autres individus. Ce trouble de la personnalité est une condition chronique ou à long terme dans laquelle les patients dépendent des autres individus concernant leurs besoins physiques et émotionnels, tout en dépendant un minimum d'eux-même.
Selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, le trouble de la personnalité dépendante se caractérise par un « besoin général et excessif d'être pris en charge qui conduit à un comportement soumis et "collant" et à une peur de la séparation, qui apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes ». Le DSM classe dès lors plusieurs symptômes :
  1. le sujet a du mal à prendre des décisions dans la vie courante sans être rassuré ou conseillé de manière excessive par autrui ;
  2. a besoin que d'autres assument les responsabilités dans la plupart des domaines importants de sa vie ;
  3. a du mal à exprimer un désaccord avec autrui de peur de perdre son soutien ou son approbation. NB : ne pas tenir compte d'une crainte réaliste de sanctions ;
  4. a du mal à initier des projets ou à faire des choses seul (par manque de confiance en son propre jugement ou en ses propres capacités plutôt que par manque de motivation ou d'énergie) ;
  5. cherche à outrance à obtenir le soutien et l'appui d'autrui, au point de faire volontairement des choses désagréables ;
  6. se sent mal à l'aise ou impuissant quand il est seul par crainte exagérée d'être incapable de se débrouiller ;
  7. lorsqu'une relation proche se termine, cherche de manière urgente une autre relation qui puisse assurer les soins et le soutien dont il a besoin ;
  8. est préoccupé de manière irréaliste par la crainte d'être laissé à se débrouiller seul.
"La personnalité dépendante coexiste souvent avec d'autres problèmes de personnalité et de l'humeur difficiles à distinguer. Le degré selon lequel des comportements dépendants sont considérés comme adaptés varie selon l'âge et le groupe socioculturel."


Lorsque j'ai lu ces mots ma première pensée a été ce n'est pas possible ? 

Pourquoi suis je ainsi ? Pourquoi ?????

En être consciente n'est elle pas la pire souffrance à vivre ??!!
Qu'est ce qui fait que je devienne comme une marionnette que l'on manipule tout en pensant au plus profond de moi même : puis je avoir confiance ??
Et le doute s'installe de nouveau sans pouvoir le contrôler et de nouveau je me renferme sur moi même.
Marre de vivre ainsi, dans la méfiance, la peur panique, le manque de confiance en moi et aux autres, marre de cette peur d'abandon, donner et encore donner pour être accepter, marre de se taire, marre de cette souffrance, et surtout marre de cette hypersensibilité...

Mais tout ne viendrait pas de ces seize lettres ??

Comment faire le deuil de mon hypersensibilité, ressentir chaque émotions jusqu'aux bouts des doigts comme si je pouvais les palper.

Comment et pourquoi ??

Deux mots qui ne cessent de me poursuivre, deux mots ancrés en moi. A quand la réponse ? 

Je vais vous confier une phrase qu'une psychanalyste à écrite sur son site et qui me parle beaucoup :

Mes mots ne seront jamais tortueux car l'important est de comprendre ce que l'on a et ce que l'on est et le pourquoi viendra après...


Un site que je vous conseille de visiter :  http://psy-des-collines-13.net/ 



              

 

mercredi 10 octobre 2012

Brides les bains...

Un lieu bien connu depuis le film Français sorti en avril 2012  "Mince alors",  de Charlotte de Turckheim co-produit par Christine Gozlan et Dominique Besnehard

Aujourd'hui je m'y retrouve, accompagnée de Sophie, pour tenter de perdre les cinq-six kilos, qui m'empoisonnent la vie, dus aux médicaments que j'avale depuis deux ans.





Lundi matin rendez-vous pris chez le médecin pour prendre nos mensurations, ainsi qu'évidemment notre poids. Puis il nous prescrit les soins adaptés à notre situation pour la cure de trois semaines.

Un régime à 1 100 calories, je dirais sévère mais ce n'est pas le pire, le pire est l'eau (30 cl) à boire trois fois par jour, elle est salée, chaude et a un goût que je ne pourrais définir.
Comme une odeur, un goût d'eau croupie. Nous trinquons ensemble tout en espérant que nous allons nous y habituer ??!!


Les soins pour l'instant sont rares, une demie heure par jour, en soirée mais à partir de demain le rythme va s'accélérer.
Aérobain...un plaisir
Illutation de boue...un réel bonheur
Jets d'eau...une nécessité
Bain en eau courante...une belle relaxation

Mais malgré tout je sais que pour moi ce ne sera pas efficace. Et oui une erreur administrative, pour ne pas la citer, la sécurité sociale s'est trompée dans mon orientation et m'a inscrite en rhumatologie et non en affections digestives (amaigrissement) 
Déjà l'année passée je me suis rendue à Néris les Bains pour faire une cure thermale en thérapie psychosomatique et orientation de la SS...rhumatologie !!!

Mercredi prochain, rendez-vous chez le médecin pour savoir si j'ai perdu quelques grammes ou kilos,
à suivre...



                               Eau de Brides-les-Bains
                                                        L'eau de Brides

En 1653, un débordement du Doron de Bozel ensable la source durant plusieurs années. Il en a été de même en 1774. En 1818, un éboulement de roches et de glaces a formé un lac aux Glières de Champagny. Sa rupture a remit les sources à nu.
En 1819,  une société d’exploitation se constitue sous la présidence de l’intendant de Tarentaise. Les sources sont alors mises à l’abri.
Le docteur Hybord est le premier à analyser les eaux, il en découle des vertus réparatrices des engorgements du foie, ou encore des obstructions vésiculaires.
Quelques années plus tard, le docteur Philbert spécialise le domaine thérapeutique aux hépatiques et aux  obèses.



jeudi 4 octobre 2012

De Marseille...


Quel bonheur de se retrouver auprès de sa petite famille, choisie, pour quelques jours de vacances !!
De se retrouver à leur table pour fêter l'anniversaire de ma grande soeur et trois jours plus tard celui de mon beau-frère

 Je vous souhaite une bonne santé
 A bientôt